Peinture : « Partie d’un tableau qui n’est pas suffisamment remplie. » Charles Baudelaire, Salon de 1846.
« Le germe d’un vortex […], pas une parcelle ne plissait dans la gueule du terrible entonnoir, dont l’intérieur, aussi loin que l’œil pouvait y plonger, était fait d’un mur liquide […], tournant sur lui-même sous l’influence d’un mouvement étourdissant, et projetant dans les airs une voix effrayante… » Edgar Allan Poe, Une descente dans le maelstrom, 1841, trad. Charles Baudelaire.
« Le germe d’un vortex […], pas une parcelle ne plissait dans la gueule du terrible entonnoir, dont l’intérieur, aussi loin que l’œil pouvait y plonger, était fait d’un mur liquide […], tournant sur lui-même sous l’influence d’un mouvement étourdissant, et projetant dans les airs une voix effrayante… » Edgar Allan Poe, Une descente dans le maelstrom, 1841, trad. Charles Baudelaire.
« Dans la musique, comme dans la peinture, et même dans la parole écrite, […], il y a toujours une lacune complétée par l’imagination de l’auditeur. » Charles Baudelaire, « Richard Wagner », L’Art romantique, XXI, 1.
« L’une des formes primitives et les plus naturelles de la poésie… », Charles Baudelaire, Paradis artificiels, 1860.